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FLASH: Grève de la faim de papa                 

 

STOP VIOLENCE   EN ACTION DE SOUTIEN POUR SON ADHERENT GERARD CRUZILLE QUI ETAIT EN GREVE DE LA FAIM
 
Place des Droits de l'Homme" près du TGI DE BOURGOIN.
                              
Stop Violence et Gérard étaient soutenus par les associations : Sanviolentine, Grands Parents en Danger France, Attac, Acalpa Auvergne, les Enfants de l'Orchidée,  France enfance maltraitance, I comme Identité Rennes, l'Enfant et son droit Lyon,
                   
Nous soutiendrons Gérard jusqu’à ce qu’il soit réuni avec ses enfants, conformément aux Conventions Internationales des Droits de l’Enfant, ainsi que tous les adhérents des associations avec lesquelles nous œuvrons dans ce domaine, qui nous ont soutenu dans nos actions à Bourgoin ou ailleurs, ACALPA, l’Enfant et Son Droit à Lyon, Grands Parents en Danger France, l’Association de Soutien à Carole, I C I Rennes, les Enfants de l’Orchidée, Sanviolentine, etc...  pour l'application des jugements et son droit d'avoir ses enfants selon les 15 décisions de justice rendues en sa faveur.
                                                                                                        
 
DES ENFANTS DE MAI 2008 SANS PERE
Par François CIESIEL
                      
             
 
 

 

 

 
Jacques Barbier à gauche et Gérard Cruzille  ---  Gérard avec Bruno un papa de Valence venu le soutenir
Photo le Dauphiné Libéré Michel Thomas                   
                           
BOURGOIN JALLIEU-ISERE – JUSTICE
Dont un extrait du Dauphiné Libéré d’Emily IMBERT
                                                     
Un papa en grève de la faim.
                              
Après avoir passé douze ans avec sa compagne, la vie commune devenant insupportable, Gérard a décidé de la quitter après avoir effectué les démarches auprès du Juge aux Affaires Familiales.
                              
En janvier 2006, un jugement a confié la garde de leurs deux enfants à cette dernière et a octroyé à Gérard le droit de prendre ses enfants un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. Un droit qu'il n'arrive pas à faire appliquer. Depuis la séparation, il n'a que très peu vu son fils et sa fille, et plus du tout depuis bientôt six mois. Pour cela, la mère des enfants a été condamnée à deux reprises. Et pourtant, le père n'arrive pas à faire appliquer le jugement qui lui donne un droit de visite régulier. Il a donc décidé d'entamer, à partir de ce matin (vendredi 9 mai), une grève de la faim, Place des Droits de L'Homme à Bourgoin-Jallieu, juste à côté du palais de justice.
                                     
« C'est mon dernier recours. Je suis prêt à aller jusqu'au bout », assure-t-il. Jusqu'au bout... Jusqu'à mettre sa vie en danger. Le père de famille de 43 ans voit dans cet appel au secours sa dernière chance d'être entendu par une justice qui a su prendre des décisions d’une grande sagesse, mais dont on ne peut pas faire appliquer les décisions.
                              
Les gendarmes ont eu beau frapper à la porte de la maman, ils n'ont pas réussi à la convaincre de laisser le papa voir et emmener ses enfants comme le jugement le prévoyait.                 
 
Pour Jacques Barbier, le vice président de l'association Stop Violence, qui s'est engagée aux côtés de Gérard et connaît parfaitement ce dossier, il s'agit « d'un cas évident d'aliénation parentale ».
                       
Alda GROSSET, Déléguée P.A.C.A de Stop Violence et Joëlle MARTIN déléguée du Puy de Dôme, vont se relayer sur le site de Bourgoin aux cotés de Jacques BARBIER pour tenter de trouver une solution à ce « DENI de Justice » et à l’incapacité des services sociaux à faire évoluer la situation en faveur de Gérard, mission qui leur avait été confiée par le Juge des enfants.
                              
« Et, encore, dans le cas de Gérard, nous avons eu la chance d'avoir des gendarmes qui ont très bien fait leur travail. Car, dans ce genre de dossiers, ce n'est pas évident de faire la part des choses.
Actuellement, notre association essaie de rencontrer des jeunes qui ont été victimes, pendant des années, d'aliénation parentale, pour en comprendre les mécanismes » et surtout pour voir comment ils s'en sortent.
                            
Pour arrêter sa grève de la faim, Gérard attend une « action significative pour pouvoir voir ses enfants dans des conditions normales. Je voudrais être réhabilité devant les enfants. Je veux qu'ils sachent que je les aime, que je les attends. »
                       
Pour le droit des enfants aux deux parents lors de séparation-divorce, Solidarité avec Gérard : Rendez visite à Gérard, Place des Droits de L'Homme à Bourgoin Jallieu. Vous pouvez y signer une pétition en soutien à Gérard, qui à recueilli en ces trois premiers jours 220 signatures, dont environ les deux tiers de parents dans une situation analogue.
                         
Quelquefois, la situation prend une tournure dramatique, ainsi hier Jacques BARBIER présent au près de Gérard CRUZILLE à BOURGOIN à reçu le frère de CHRISTELLE une jeune maman de 29 ans qui connaissait une situation identique, et s’est donnée la mort en laissant une fillette de 9 ans.
                                
Après une grève de la faim en Lozère encore pour les mêmes raisons, Stéphane L. un papa de Lozère s’était donné la mort après avoir adressé un courrier à Pascal CLEMENT alors Ministre de la Justice en décembre 2006.
                                                     
Il est temps que " l’INJUSTICE " revoit sa copie nous indique Jacques BARBIER. Plusieurs associations se regroupent actuellement pour un dépôt de plainte contre l'Etat pour non respect des Conventions des Droits de l'Enfant.   
                                                                                       
REPÈRES :
                  
STOP VIOLENCE
Créée en 1994 à la suite d'agression sexuelle de jeunes, l'association Stop Violence, basée en Haute-Loire, avec plusieurs comités dans la région Sud Est, travaille aujourd'hui, entre autre, à la défense de parents et grands-parents qui n'arrivent pas à voir leurs enfants ou petits enfants, et à informer le public sur les processus d'aliénation parentale. Elle travaillerait actuellement avec G.p.e.d.F sur plus de 3 500 dossiers.
                     
Elle est adepte dans certains cas de la méthode forte, comme les « sitting » ou « grève de la faim », pour médiatiser les dossiers souvent dramatiques, qu'elle défend.
                      
Rens. : www.stopviolence.fr     Tél : 06.42.39.98.31    mail : stopviolenc@wanadoo.fr
                       
PROPOSITION DE LOI
                        
L'association prépare également une proposition de loi pour que les parents qui portent de fausses accusations d'agressions sexuelles sur leur ancien conjoint encourent la même peine que les auteurs des faits, « Pour ne plus porter préjudice aux enfants qui sont réellement victimes de tels faits, et moins écoutés encore depuis l'affaire d'Outreau.»
                                                 
Tel est le cas de JONATHAN R. dans la Drôme pour viol sur mineur de 15 ans. Son dossier a été classé par le parquet, à la suite de quoi le papa Bruno R. a confié au mois de mars le dossier à l’Association Stop Violence pour demander de l’aide et faire valoir les droits de son fils aujourd’hui âgé de 14 ans.
                                               
Obtenir la réouverture de ce nouveau dossier à Valence sera peut-être l’une des prochaines actions de Stop Violence qui avait déjà fait rouvrir un dossier classé sans suite pour viol avec actes de barbaries sur mineur.  
                                                                   
 François Ciesielki
                                 
                     
STOP AUX ENFANTS VICTIMES D’ALIENATION PARENTALE.
 
 
Gérard CRUZILLE se bat depuis 2006 pour faire appliquer son droit de visite et d’hébergement pour ses deux enfants. Malgré la condamnation de Florence M....... à des peines de prison avec sursis et prison ferme, peines confirmées par la Cour d’Appel de Grenoble, après plus de trente plaintes pour non représentation d’enfants, la mère se refuse toujours à présenter les enfants.
 
Le Président de la république saisi de ce dossier, l’a transmis à Madame Rachida DATI, laquelle confirme par sa réponse le 14 avril 2008 :
 
«  A la suite de mon dernier courrier, j’ai l’honneur de vous informer que, suite au dépôt de plainte de votre correspondant auprès du procureur de la République de Bourgoin-Jallieu, Madame M......, mère des enfants, a été condamnée à trois reprises par le tribunal correctionnel. La cour d’appel, par trois arrêts du 4 décembre 2007, a confirmé ces décisions. »
 
Puis, Madame Rachida DATI, Garde des sceaux, Ministre de la Justice précise :
 «  Par conséquent, je ne puis que conseiller à votre correspondant de se rapprocher de son avocat afin d’envisager avec lui les voies de droit les plus appropriées à la défense de ses intérêts ainsi que ceux de ses enfants. »
 
Nous ne pouvons que remercier Madame DATI d’avoir pris la peine d’étudier ce dossier difficile, mais l’important aujourd’hui, c’est l’application immédiate des jugements, après plus de 30 plaintes, 14 Audiences, 4 condamnations de Florence M.......
               
Maître A. LAMAMRA de Lyon, avocate de Gérard, connait parfaitement son dossier et le processus d'aliénation parentale, lequel est souvent mal connu par les travailleurs sociaux et les JE.                     
 
3 ans d’attente et de procédures, ça suffit !!! Gérard doit retrouver ses enfants.
              
Nous sommes face à un déni de justice, face à des services sociaux incapables de   faire évoluer cette situation, laissant un parent, dans ce cas la mère, agir à son gré, face à une Justice qui ne parvient pas, ou ne prend pas toutes les mesures nécessaires pour faire appliquer ses décisions…
                              
                                  
12 mai 2008
Màj 08h16
                               
Un père en grève de la faim pour voir ses enfants
Gérard Cruzille, 43 ans, s'est lancé depuis vendredi dans un grève de la faim à quelques mètres de l'entrée du tribunal de Bourgoin-Jallieu pour voir ses enfants. Ce père demande en effet à la justice de faire respecter ses propres jugements : en 2006, après un divorce, la mère obtient la garde de Mathis et Marjolaine. Le père, lui, pourra voir ses enfants un week-end sur deux. Et pourtant son ex-compagne ne veut obtempérer et est condamné à de la prison.
Serge Pueyo
12 mai 2008
 
Près du tribunal de Bourgoin-Jallieu, Gérard campe pour que le justice applique ses décisions
 En 2005, après 12 ans de vie commune, il se sépare de sa compagne, Florence. En janvier 2006, un premier jugement confie à la mère la garde des deux enfants du couple. Mais Gérard Cruzille obtient le droit d'avoir ses enfants un week-end sur deux et pendant la moitié des vacances.
Pourtant son ex-compagne ne veut pas obtempérer.
La mère est condamnée à trois reprises à des peines de prison. Avec sursis pour les premières, à un mois ferme lors du dernier jugement en décembre.
Ces décisions n'ont jamais été appliquées. Ce papa est désormais prêt à aller jusqu'au bout.
Auteur : Serge Pueyo 
                  
                                      
M6 INFOS                                         
QUELQUES PHOTOS DE GERARD CRUZILLE AVEC STOP VIOLENCE A BOURGOIN  
cliquez  ici, Place des Droits de l'Homme   
                                                                                   
RADIO  SCOOP  LYON  INFO
"Un papa en grève de la faim"  Cliquez  ICI
                                   
Un père en grève de la faim pour revoir ses enfants
Justice
C'EST LE COMBAT d'un père qui demande à la justice de faire respecter ses jugements pour qu'enfin il puisse voir ses enfants, Mathis, 14 ans, et Marjolaine, 11 ans. A quelques mètres de l'entrée du tribunal de Bourgoin-Jallieu, Gérard Cruzille, 43 ans, s'est lancé dans une grève de la faim « car je...
                        
Le Progrès - Lyon - 21-05-2008
Le papa en grève de la faim hospitalisé
Vincent Wales -sa vie en danger. Hier, en fin d'après-midi, au douzième jour de sa grève de la faim, il a été évacué à l'hôpital de Bourgoin-Jallieu. Particulièrement affaibli    
                     

La Rédaction du Dauphiné Libéré

Le 10/05/08 à 05h00

BOURGOIN
Premier jour de grève de la faim pour Gérard

Comme nous l'indiquions dans notre édition d'hier, Gérard a entamé, hier, sa première journée de grève de la faim. Installé dans une caravane sur la place des Droits-de-l'Homme à Bourgoin-Jallieu, le quadragénaire, qui a cessé de s'alimenter mais boit tout de même de l'eau, demande à revoir ses deux enfants.

En effet, depuis janvier 2006, plusieurs jugements successifs lui ont accordé un droit de visite un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. Mais la maman, qui a été condamnée pour cela à deux reprises, s'y refuse.

Paru dans l'édition 38C du 10/05/2008   

MAXI-MAG 

« En grève de la faim pour revoir mes enfants »

Séparé de sa compagne après douze ans de vie commune, Gérard ne voit plus ses enfants. Malgré les décisions de justice, son ex-compagne refuse de les lui laisser. A bout, ce papa de 43 ans s'était mis en grève de la faim…

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Trois ans. Vous vous rendez compte ? Plus de mille jours que je n'ai pas vu Mathis et Marjolaine, mes enfants qui ont 14 et 11 ans. Leur adresse, je la connais par cœur, car j'ai essayé des dizaines de fois de les rencontrer, de leur parler. Mais c'est toujours le même accueil : La famille de mon ex-compagne me répond qu'ils ne sont pas là.
 
Alors je repars sans même les avoir aperçus, avec la sensation que nos balades en vélo ou nos rires ponctuant les parties de jeux de société sont à reléguer au rang des souvenirs.

A dire vrai, je n'aurais jamais cru en arriver là, lorsqu'en 2005, j'ai décidé de me séparer de ma compagne. Ça faisait déjà quelques années que l'on ne s'entendait plus, mais cela ne changeait évidemment rien à l'amour que nous avions pour nos enfants.

Quand je suis parti de la maison, j'ai tout de suite saisi le juge des affaires familiales pour obtenir la garde de Mathis et Marjolaine un week-end sur deux et la moitié des vacances.


Mon ex-compagne a été condamnée à un mois ferme

Le juge a accepté, mais mon ex-compagne a refusé d'obtempérer. J'ai dû déposer plusieurs plaintes pour « non-présentation d'enfants ». A chaque fois, les juges du tribunal de Bourgoin-Jallieu, puis la cour d'appel de Grenoble m'ont donné raison.

La mère de mes enfants a été condamnée à trois reprises à des peines de prison. Avec sursis pour les deux premières et à un mois ferme, lors du dernier jugement, en décembre.
Les gendarmes ont essayé de lui faire entendre raison, mais sans succès. Les décisions de justice n'ont jamais été appliquées.


J'ai tout tenté avant de me décider à faire la grève de la faim

J'ai écrit au Président de la République qui m'a répondu que la justice s'occupait de mon dossier. J'ai également envoyé un courrier à la garde des Sceaux qui m'a demandé de me rapprocher de mon avocat « … pour envisager avec lui les voies de droit les plus appropriées à la défense de mes intérêts et ceux de mes enfants. » Mais rien ne bougeait.

Alors, j'ai entamé une grève de la faim. Je me suis mis en disponibilité à mon travail et je me suis installé, dans ma petite caravane, place des Droits de l'Homme, à Bourgoin-Jallieu
Toute la journée, des pères et des mères, dans la même situation que la mienne, sont venus me raconter leur histoire. J'ai rencontré un papa qui était privé de ses enfants depuis dix ans. J'ai appris que dans ma ville, une maman de 29 ans, désespérée de ne pouvoir serrer sa petite fille de 9 ans entre ses bras, avait récemment fini par se suicider.

J'irai jusqu'au bout
Alors à bout, j'ai décidé de ne plus m'alimenter, en attendant que la justice fasse appliquer les jugements qu'elle a prononcés. Je n'avalais que deux litres d'eau sucrée par jour. Je sentais bien que je devenais de plus en plus faible, mais c'était l'ultime solution que j'avais trouvée pour faire bouger les choses. Un jour, j'étais vraiment très mal.« Stop Violence », l'une des associations qui me soutient, avec entre autres « ATTAC », « Acalpa Auvergne », « Sans Violentine »… ont fini par demandé au médecin du SAMU de m'examiner et j'ai été évacué vers l'hôpital de Bourgoin-Jallieu où l'on m'a mis, après quelques examens, sous perfusion. Quand j'ai quitté les urgences au bout de nombreuses heures, je suis retourné dans ma caravane, pour poursuivre ma grève de la faim.


Une médiation prévue à la fin du mois a redonné espoir

Mon avocat a de nouveau saisi le procureur et le juge des enfants pour que l'on applique mes droits. Et la demande de transfert de résidence des enfants chez moi, vient d'être mis en délibérée et une médiation est prévue le 30 juin prochain. Du coup, j'ai recommencé à m'alimenter. J'aimerais tant revoir Mathis et Marjolaine dans des conditions normales ! Je voudrais vraiment qu'ils sachent que leur papa les aime et a besoin d'eux.

Je n'accepte pas l'idée de continuer à vivre sans voir mes enfants. 

                   
www.stopviolence.fr
                         
Propos recueillis par Sophie Dubois-Collet
 

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LE Dauphiné Libéré DU 18 JUIN
 
              
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Pour connaître la Pétition afin que Gérard retrouve ses enfants, dans l'application de ses droits reconnus par la justice, cliquez " ici " ou adressez votre soutien par mail.