La version de votre navigateur est obsolète. Nous vous recommandons vivement d'actualiser votre navigateur vers la dernière version.
Pourquoi les abolir            

 

VIOLENCE EDUCATIVE ET MALTRAITANCE

 

POURQUOI FAUT-IL ABOLIR LES CHATIMENTS CORPORELS ?

 

De nombreuses raisons justifient l'abolition des châtiments corporels à l'encontre des enfants :

 

Ils constituent une violation des droits fondamentaux des enfantsà l’intégrité physique, à la dignité humaine et à la protection égale de la loi.

 

- Trop souvent,ils portent atteinte à leurs droits à l’éducation, à leur développement,à leur santé et leur vie.

 

- Ils peuvent entrainer des dommages physiques et psychologiques graves.

     

- Plus grave encore, si vous venez de parcourir la page de Jacquelin Cornet et les résultats de l'étude qu'elle a réalisée, ce qui est confirmé par d'autres études, les enfants les plus accidentés sont ceux qui ont été battus...

       

- Aucune religion, croyance, situation familiale ou méthode éducative ne peut justifier les coups, gifles, fessées, mauvais traitements, humiliation portant atteinte à la dignité d'un enfant.

 

- Ils apprennent aux enfantsque la violence est une stratégie acceptable, et sert juste pour résoudre les conflits ou pour obtenir ce que l’on veut des autres.

 

- Ils sont inefficaces comme moyen de discipline.

-Il existe des moyens positifs pour instruire ou discipliner les enfants, qui sont meilleurs pour l’épanouissement de l’enfant et qui contribuent à construire des relations fondées sur la confiance et le respect mutuels. (La parentalité positive).

 

- Accepter la légitimité des châtiments corporels rend la protection des enfants difficile car elle suppose qu’il existe des formes ou des degrés de violence acceptables à l’égard des enfants.

  

- Interdire les châtiments corporels dans le foyer familial, ne veut pas dire qu'il faut engager des poursuites à l'encontre des parents, mais faire changer leurs comportements,en les aidant à adopter des méthodes d'éducation non violentes et s'orienter vers une parentalité positive.