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Le Business des Séparations Conflictuelles                  

 

« Les mots sont un leurre dans la bouche des fous »
Yolande Villemaire
 
Le Business des
SEPARATIONS CONFLICTUELLES
QUELLES REPONSES ?

 
Le bonheur d’un nouveau cercle en plein développement…
Tribunaux engorgés par les procédures familiales, Magistrats, experts Psychologues ou Psychiatres, services sociaux, assistants sociaux, associations professionnelles (lieux de rencontres médiatisés, ADSEA, etc…), avocats, huissiers, médiateurs, etc…
Le malheur des ENFANTS pris en otage dans un conflit qui n’est pas le leur, mais un leurre…
Qui se soucie de leur sort ? Merci infiniment aux Juges qui remplissent minutieusement leur tâche, sans à priori, sans se laisser influencer par la personnalité d’un parent ou des interventions extérieures, à ceux surtout qui ne se laissent pas manipuler, sachant qu’il est extrêmement difficile de déceler la manipulation, tant les pervers sont habiles.
Certains Juges corrigent leurs erreurs au fil des audiences après avoir cerné le personnage d’individus à double personnalité, c’est tout à leur honneur.
Certains Juges des Cours d’Appel au contraire, qui ne peuvent connaître un dossier de huit cents pages quelques jours avant l’audience se permettent de réformer les Jugements de première instance, suivis par des Juges ou une collégialité depuis plusieurs années, lesquels ont démasqué le personnage glauque de certains parents et l’évolution des autres.
 
Comment certains juges osent-ils indiquer dans leur Arrêt qu’un enfant ne peut pas partir à l’étranger avec un de ses parents car il ne connaît pas la langue du pays où il doit se rendre pour y passer quinze jours de vacances ?
 
Sont-ils sensés ? Ou suis-je idiot… Combien d’enfants partent en vacances chaque année à l’étranger sans connaître la langue de ce pays ?
 
Au nom de qui ces Juges tout puissants, condamnent-ils certains Enfants à rester dans « une prison nommée France » qui leur est imposée à l’encontre des conventions internationales ?
 
Pourquoi les mères sont-elles défavorisées pour des raisons financières ? Leurs revenus sont presque toujours très nettement inférieurs à ceux des pères ? Certaines ne peuvent pas bénéficier de l’aide Juridictionnelle si leurs revenus dépassent le SMIC ? Combien d’avocats refusent les dossiers dans le cadre de l’Aide Juridictionnelle ? Ce qui se comprend très bien compte tenu du travail à fournir.

AFP Mis à jour le 18/05/2010 à 17:14 : « L'Etat a été condamné mardi par la cour d'appel d'Aix-en-Provence pour déni de justice à l'encontre d'une mère de famille privée de ses quatre enfants depuis son divorce fin 1993, en dépit d'un droit de visite.. »
 
Faut-il systématiquement devenir procédurier, ce qui est ensuite reproché au demandeur, pour pouvoir obtenir une décision de Justice conforme à l’intérêt de l’enfant ?
 
Pourquoi attendre plus de neuf mois, comme Susana une Maman Espagnole pour lui rendre ses enfants enlevés par un père Français, et lui imposer des frais de procédures pour y parvenir alors qu’elle en avait la garde ?
 
Quelles Solutions ?
 
Durant 25 ans, une psychologue californienne décédée maintenant, Judith Wallerstein, s’est occupée de plus de 130 familles où un des parents exclu de la vie de ses enfants avait été diabolisé par l’autre parent.
 
Ces enfants ont grandi en pensant qu’ils étaient les enfants de quelqu’un de mauvais, et la plupart d’entre eux ont eu une vie sociale négative.
 
N’est-ce pas ce que la majorité de nos Juges font en ce moment en laissant des procédures durer des années, sans rétablir le lien parent-enfant ?  
 
Il est évident qu’ils n’ont pas toujours les moyens tant en personnels que financiers, mais les enfants doivent-ils en être les victimes ? C’est leur métier et à eux seuls d’agir avec leur hiérarchie face aux pouvoirs politiques.
 
Pour éviter des années de procédures, longues et couteuses, la solution existe.
 
Le Juge RUDOLPH en Allemagne, dont la méthode dite « pratique de cochem »  est reconnue comme l’une des meilleures au monde.
 
Certains de nos Juges compétents, le font en évitant de laisser le temps aux manipulateurs et pervers de détruire leurs enfants. Pour cela, il faut une première audience rapidement, dans un délai de 15 jours, car un mois, c’est trop long pour un enfant.
 
« L’idée est que tout doit être subordonné au point de vue des enfants, et d’autre part, avoir une intervention précoce qui vise à faire dialoguer les parents dans l’intérêt des enfants. »
 
Selon l’âge de l’enfant, prendre sa demande en considération, ce qu’a fait un Juge dans le Sud de notre pays au début de cette année 2013, en présence des parents, et nous ne pouvons que le féliciter pour sa décision, comme à Bourgoin pour une adolescente de  12 ans en 2009.
 
Deux frères dont l’un était fatigué d’être pris dans le conflit parental a préféré un placement, alors que l’autre a été confié à sa mère, car le père remarié, qui avait obtenu sa garde, ne supportait plus la mésentente entre sa nouvelle épouse et son fils.
 
Sanctionner les éloignements géographiques volontaires
 
Certains parents, pères ou mères, prennent un plaisir certain à se venger de leur échec conjugal, et mettent une certaine distance entre l’autre parent et les enfants.
 
Sauf à démontrer qu’il n’y a pas de volonté de nuire à l’autre parent, ou que la vie devenait insupportable rendant l’éloignement indiscutable, certains Juges demandent le retour dans la ville du parent qui s’en est éloigné, ou font une inversion de garde justifiée.
 
Il ne s’agit pas de refaire les LOIS, il y en a assez dans ce domaine, mais de les appliquer.
 
Jacques Barbier
 
G.C
P.S
J.M


m à j fév 2013