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POINTS RENCONTRES dits LIEUX MEDIATISES      

 

Réflexion sur les points de rencontres « dit neutres ou médiatisés »…
                
                            
- Les associations I Comme Identité et Stop Violence France, de même que la quasi totalité des parents et grands parents, n'approuvent en rien ces lieux d'accueil dits «neutres» car certains relèvent presque de l'univers carcéral pour mineurs.
                
Ils ne sont en rien épanouissants pour l'enfant et certainement pas égalitaires pour l’un des parents. En outre, cette conception de l'éducation va à l'encontre des besoins fondamentaux de l'enfant et de l’idée que l’on peut se faire de l'autorité parentale telle que conçue par le législateur, laquelle doit être exercée par les deux parents.
                                                   
- En effet, ces lieux dits «neutres»  accentuent la destruction de la cellule familiale et brisent l'identité culturelle du parent à qui l'on retire (de fait, par ce biais) l'autorité parentale. Le parent qui doit se rendre dans ce type d'endroit, n'est plus crédible face à ses propres enfants. Il en est de même pour des grands-parents qui doivent passer par ces lieux pour renouer des liens qui existaient alors avec leurs petits enfants.
                                       
- C'est indigne pour le parent qui se voit obligé d'aller «voir» ses enfants dans un endroit clos et en plus surveillé, sans droit de prendre des photos, de parler d'avenir... Un zoo humain, en fait !
            
Pascal CLEMENT indiquait le 7 juillet 2006 que ces points de rencontres ne sont prévus par aucun texte, et que ces structures interviennent le plus souvent sur décision du JAF.
                                         
Pourquoi dans ce cas, laisser se créer de telles structures proliférant dangereusement, que l’on peut fort justement assimiler à une prison pour parents et enfants.        
                                                              
Même si les moyens dont disposent ces lieux permettent à certaines familles d’amorcer un dialogue lorsque celui-ci est rompu de manière absolue, avec des équipes formées pour les cas les plus faciles, ils sont pour l’instant incapables de rétablir des liens Parents / enfants relevant de l’aliénation parentale.
                        
S’il ne faut pas nécessairement supprimer ceux-ci, il faut tout au moins redéfinir de façon précise leur tâche, et donner au personnel une formation adaptée pour remplir les missions qui leurs sont confiées, si seulement celles-ci sont bien définies, ce dont on peut douter.
                                              
- Parlant des « points-rencontres »,le docteur Edouard BROUSSALIAN précisait « Impossible de renouer un lien, même s’il y a une injonction du juge : dans ces cas précis,les points de rencontre deviennent des lieux de torture, ou les enfants se rendent par obligation,« muets, fermés, et hostiles »
                                           
- Quelques personnes, en l’occurrence «des juges, des avocats, des enquêteurs et travailleurs sociaux» qui possèdent une morale pour le moins extraordinaire, puisqu’ils mettent en œuvre des structures et proposent à des «clients» potentiels (les grands parents, parents et enfants) de s’y rendre, dans l'intérêt des enfants bien évidement.
                                         
Au train où vont les choses, il n’y aura bientôt plus besoin de député(es), ces personnes supputées morales mettant en place et faisant vivre ces structures en les alimentant, afin de justifier fallacieusement leur existence. Juges et avocats s’appuient sur des «rapports» de psychologues, psychiatres, travailleurs sociaux et autres «experts» dont nul n’ignore pourtant les dérives. Tout cela bien sûr au nom et sur les deniers du peuple français. L'Histoire, hélas, prouve que des dictatures sont nées de la même façon.
                                      
- Il est par ailleurs incontestable que ces lieux dits «neutres» déstructurent la cellule familiale ou ce qu’il en reste, dans de telles circonstances et brisent davantage l'identité de l'enfant.
                                   
- L’identité culturelle du parent à qui l'on retire de fait son autorité ne pourra plus s'exercer. En outre, ce moyen ou ce procédé ne respecte en rien la dignité de l'être humain et va clairement à l'encontre de l'intérêt des enfants, au mépris des conventions Internationales des droits de l’enfant et des droits de l’homme.
                                    
- Peu à peu l'identité culturelle est brisée, violée, et il est difficile de ne pas faire de rapprochement avec une certaine dictature que le peuple Français n’a jamais voulu, ne veut pas, et ne voudra jamais.
                                         
- On ne peut, enfin, qu’émettre de légitimes suspicions sur le principe même de ces «lieux», lesquels servent de laboratoire grandeur nature à l’observation de comportements humains non naturels.
              
En témoignent notamment certaines manœuvres de professions exerçant dans ces structures sources de juteux profits, lesquelles considèrent que leur «mission» est de faire insidieusement comprendre aux enfants contraints de «rencontrer» l’un de ses parents ou membre de sa famille qu’une telle disposition serait «normale».
                                  
Ainsi qu’on peut le constater, intérêt de l’enfant rime trop souvent avec intérêt tout court. Devant un tel constat, la société ne peut moralement laisser perdurer de telles «solutions» qui, de fait, n’en sont pas. L’efficacité de telles structures n’est que supputée, la réalité étant hélas toute autre.
                     
- Ce site est l'une des manières de faire connaître notre position, déjà représentée par d'autres associations.
                            
Vous vivez une situation semblable, donnez-nous votre avis par mail...stopviolence@wanadoo.fr 
                                   
 
                 
m  à  j  le28 fév 2009